Articles recommandés

Retrouvez le Top Of The Week tous les vendredis avec SFR

A l'occasion de ce billet sponsorisé, je vous propose de découvrir le site Top Of The Week qui rassemble le meilleur de l'actualité vidéo du web et vous donne en bonus une petite leçon de danse pour épater vos amis.

En effet, Top Of The Week se révèle être une émission dont le contenu peut se résumer en l'étrange rencontre entre un zapping du web et une leçon de danse à la chorégraphie pour le moins improbable. Condensée en cinq petites minutes hebdomadaires, l'émission est présentée par Michel Vedette, ce professeur de danse à l’univers didactique et légèrement décalé. Il a démocratisé l’art du step grâce à ses fameux cours de danses au Baron, véritable temple de la branchitude parisienne où il est particulièrement difficile d'entrer.

Top Of The Week

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Offrez la grippe A à vos enfants ou à vos amis pour Noël !

Non, je ne vous invite pas à inoculer le pire (!?) virus du moment à vos proches, je ne suis pas sadique et cynique à ce point ! Il s'agit simplement d'une collection de peluches représentant la vue microscopique d'un micro-organisme comme la grippe (classique ou A), le rhume ou l'hépatite. Notez qu'il existe plusieurs dizaines de peluches dont certaines bien plus méchantes, encore, comme le VIH, la gangrène ou la maladie de la vache folle. D'autres sont au contraire parfaitement inoffensives comme l'ovule, le spermatozoïde, le neurone ou le globule rouge.

Peluche Microbe

Pour ceux qui douteraient de la portée morale du produit, sachez que l'aspect pédagogique est au cœur du concept puisqu'un livret pédagogique en français est fourni avec chaque peluche. De quoi peut-être créer une vocation auprès de vos bambins, à moins qu'il s'agisse d'une idée cadeau originale pour vos amis.

En vente sur Science Shopping ou ThinkGeek.

Sauvons les mots de l'extinction massive avec Oxford !

Nos parents, nos grands-parents n'en finissent plus de se lamenter de notre pitoyable vocabulaire. D'après nos aïeuls, les nouvelles générations ne savent pour ainsi dire ni parler, ni écrire (ce n'est pas le langage SMS se démocratisant qui devrait les faire changer d'avis) et sont de plus en plus réfractaire à l'idée de lire un bon roman. Selon eux, nous ne tarderons plus à vivre reclus devant nos machines avilissantes, débilitantes et à nous exprimer à l'aide de quelques onomatopées. Rien que ça.

Save The Words

A partir de ce constat, et bien sûr pour donner tort à ces mauvaises langues, Oxford (éditeur des fameux dictionnaires anglophones) propose Save The Words, un gadget Internet se voulant autant ludique que didactique et mettant en exergue les mots les moins courants de la langue anglaise. Sur ce site, un véritable mur de mots tous aussi abscons les uns que les autres ("icasm", "bimarian", "riviation", "mulomedic" ou encore "isangelous") s'offrent à vous.

Chaque mot survolé lache une complainte lancinante vous demandant de l'adopter. Save The Words suggère de réutiliser ces mots dans une partie de Scrabble, un SMS, un tag, un tatouage. Le site se propose aussi de vous envoyer un mot par jour qu'il faudra réutiliser dans une conversation ou encore de vous vendre un Tshirt orné de votre mot préféré.

Lorsque des écrivains de SF nous dévoilent leur bureau...

Comme vous l'avez probablement remarqué, il existe ces derniers temps une certaine fantaisie parmi les blogueurs (influents essentiellement) qui les pousse à nous montrer leur espace de travail. Cette frénésie, espèce de chaînon manquant entre méthodologie ("si je m'organise comme lui, peut-être bloguerais-je mieux ?") et voyeurisme ("quel foutoir sur son bureau, puis c'est une vraie animalerie chez lui !"), nous offre l'opportunité rêvée de partager un petit bout de vie privée avec son blogueur influent adoré. Qu'il s'agisse de la sélection française d'Eric sur Presse-Citron, de la sélection internationale de Shanker Bakshi ou de cette requête sur Twitter, on retrouve dans les commentaires une forme d'inspiration et aussi une véritable envie de bosser de chez soi pour faire "comme" son illustre mentor.

Le photographe Kyle Cassidy est de ces personnes absolument convaincues qu'un bon environnement de travail stimule l'énergie créative des gens, notamment chez ceux dont la passion est d'écrire. Le milieu qu'ils se créent, les objets dont ils s'entourent, constituent une sorte de microcosme très personnel et extrêmement favorable à l'inspiration. Ainsi Kyle Cassidy, par le biais d'un de ses derniers projets intitulé "Where I Write", nous fait découvrir l'espace de travail d'une poignée d'écrivains américains de Fantasy & Science-Fiction, pour la plupart lauréat du prix Nebula. Si certains tiennent absolument à ranger avant la photo, d'autres, au contraire, se complaisent visiblement dans ce qu'on pourrait appeler un capharnaüm organisé. Je vous invite également à jeter un oeil au blog de Kyle Cassidy, il contient d'autres photos exclusives de "Where I Write".

Le royaume de Kawano Takeshi

A Kingdom Of River-Fields est un site commis par Kawano Takeshi, un jeune tokyoïte diplômé en design & communication, que j'ai découvert à travers sa série de représentations graphiques évoquant les méfaits du réchauffement climatique. La plupart de ses réalisations se révèlent souvent inattendues et agrémentées d'un accent extrême oriental incontournable et rafraîchissant. En vrac, voici quelques uns de ses clients : Fabrica, S-Company, Benetton, Colors Magazine...

Ce concept n'est d'ailleurs pas sans rappeler certaines campagnes publicitaires de Perrier, la portée dramatique en moins naturellement...

Pour en savoir plus :

Avec Dontclick.it, résisterez-vous à la tentation... du click ?

Véritable expérience à lui tout seul, le site Dontclick.it devrait perturber de nombreux surfeurs, même parmi les plus expérimentés : conçu exclusivement en Flash, doté d'une interface dénuée de bouton, Dontclick.it se veut déstabilisant. Il instaure une conception radicalement différente de la navigation sur Internet puisque le click de souris y est purement et simplement banni. En fait, il suffit de "pointer"... et ça affiche. En revanche, si vous avez le malheur de cliquer, alors le site réagit viscéralement et vous somme de lui dire si ce click était accidentel ou intentionnel de votre part.

Au delà du défi ergonomique, Dontclick.it délivre un message intéressant : habituellement, les sites regorgent de liens et de boutons. Or, équipée d'une souris, nous sommes inlassablement tentée de cliquer sur tout ce qui peut l'être. Cette frénésie du click peut entraîner quelques désagréments : phishing, cookie malveillant, téléchargement douteux, pop-up installé à votre insu, spyware... Autant de fléaux auxquels l'internaute peut se retrouver confronter.

Finalement, devant tant de fluidité et de simplicité, sans oublier l'aspect ludique de l'expérience, on en viendrait presque à rêver que Dontclick.it devienne la référence de tout bon webdesigner. Bien sûr, ce type de site nécessite quelques pré-requis, mais rien de révolutionnaire : votre navigateur doit être équipé du plugin Flash, votre ordinateur d'une carte graphique et d'un processeur de cette décennie, ainsi que d'un dispositif de pointage (souris, trackball, trackpoint, touchpad...) puisqu'il n'est pas non plus question de naviguer au clavier.