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Catégorie : Internet

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Découvrez le service "dépôt d'avis" de Pagesjaunes.fr

Pages Jaunes, dépôt d'avis

Cela n'a pas pu vous échapper, la tendance actuelle est aux réseaux sociaux et avec le site des Pages Jaunes, nous n'y coupons pas : il y est désormais possible de partager ses avis et bons plans sur les professionnels. Pagesjaunes.fr a en effet lancé un nouvel outil communautaire intitulé "dépot d'avis" et permettant de centraliser vos précieux commentaires. A noter que ces avis sont soumis à modération pour assurer la pertinence des contributions et éviter tout débordement : chaque témoignage doit se révéler utile à l'ensemble des usagers des Pages Jaunes. Plus de 100'000 avis ont déjà été déposés !

L'interface est claire et permet facilement de visualiser les éléments soumis lors de votre inscription : paramètres personnelles, historique de vos commentaires, carnet d'adresses, ville d'accueil... Dès lors, vous pouvez naviguer au sein des pages jaunes exactement comme d'habitude et utiliser le bouton "donner votre avis" : on vous demande de juger le choix et la qualité des produits ou encore de donner votre appréciation générale. Par ailleurs, pagesjaunes.fr propose un système de points reposant notamment sur le nombre d'avis soumis ou sur l'évaluation de leur pertinence par les autres utilisateurs. Ils sont ensuite échangeables contre de nombreux cadeaux et avantages.

N'hésitez donc pas à vous inscrire pour donner vos propres avis et profiter du programme de fidélité. Mieux encore, si vous rejoignez la communauté pagesjaunes.fr dès maintenant, vous pourrez participer au grand jeu "Commentez c'est gagné" organisé jusqu'au 31 mai 2010 et peut-être remporter un des cinquante lots mis en jeu (une voiture, des séjours, un téléviseur, des chèques cadeaux etc...). Les avis que vous soumettrez à la communauté seront autant de chances de gagner.

[ Billet sponsorisé par Adrider ]

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Jaimeattendre.com et Les-horaires.fr pour gagner du temps

À l'opposé d'un site comme Merciservicepublic.com qui calcule la somme des innombrables pertes de temps qu'occasionne notre inestimable service public, voici deux sites d'information gratuits qui mettent tout en oeuvre pour vous faire gagner du temps. Ils se complètent d'ailleurs à merveille et devraient être reconnus d'utilité publique. Rien que ça, si.

Jaimeattendre.com

Comme son nom ne l'indique pas, Jaimeattendre.com a été conçu pour les internautes qui détestent attendre. Ce site tente de vous faire gagner du temps en conseillant des tranches horaires pour utiliser vos services préférés ou vous y rendre au meilleur moment : administrations, magasins, parcs d'attraction, lieux culturels, appel des services clients, transports en commun, rien ne manque. Vous connaitrez toutes les heures creuses et optimiserez ainsi vos déplacements. De plus, le site propose un forum via une page de fan Facebook via laquelle vous pourrez améliorer la précision des données ou émettre des suggestions.

Les-horaires.fr

L'autre service est Les-horaires.fr : il répertorie les horaires de plus de 100'000 commerces. Pour faire une analogie, c'est un peu une sorte de Pages Jaunes proposant les horaires d'ouverture et de fermeture de la plupart des commerces, ainsi qu'une galerie photo. Le service se révèle particulièrement pratique si vous souhaitez vous rendre dans une boutique Orange (aucun effort d'harmonisation n'a jamais été consenti) comme je l'évoquais au début de ce blog, lorsque je m'étais lancé la périlleuse mission d'acheter un iPhone. Le service propose également un système d'alerte afin d'inciter les internautes à prévenir les auteurs du site si les horaires ne sont pas correctement mis à jour ou si un commerce n'existait plus ou était doublement référencé.

Met.al & NSFW.in : deux raccourcisseurs d'URL thématiques

Aujourd'hui, les raccourcisseurs d'URL sont légions : l'époque du raccourcisseur unique - TinyURL.com - est largement révolu (même Twitter lui préfère désormais bit.ly). Et déjà, c'est une véritable mode qui s'est emparée du net, largement dynamisée par le microblogging, en grande partie à l'origine de ce besoin d'URL simplifiée. Le site LongURL.org dénombre au moins 235 URL shorteners, tandis que le blog Homo Sapiens Internetus en connaît 262 dont 178 seraient encore actifs au 10 Février 2010. Pour une majorité de ces raccourcisseurs, le nom de domaine met en avant la raison d'être du service (cut, shrink, snip, shorten, smash, trunc, shred), la taille de l'URL obtenue (tiny, notlong, short, small, ptit, dwarf, nano), la redirection (redirect, 307, link, to, migre) ou son appartenance à un site connu (fb.me, youtu.be, goo.gl, flic.kr, wp.me), quand il ne s'agit pas carrément d'une marque comme Coca-Cola.

J'aimerais vous présenter deux de ces services en particulier, échappant à la plupart des thématiques habituellement évoquées.

james hetfield

Le premier est Met.al : comme son nom l'indique, il s'agit d'un raccourcisseur dédié à tous les inconditionnels de musique Metal. Côté option, rien de bien sensationnel mais l'URL est personnalisable et le service propose tout de même une API et un plugin Wordpress. Si, à tout hasard, vous souhaitiez contacter l'auteur de ce service, sachez que son compte Twitter est @Metalgasm. \m/ Keep it Met.al ! \m/

sexy bra

Le second est NSFW.in : le sigle NSFW signifie "Not Safe For Work" et peut s'interpréter comme voulant dire "pas adapté sur le lieu de travail". Ce raccourcisseur sera particulièrement apprécié des internautes souhaitant partager des liens à éviter dans un cadre professionnel. Chaque URL raccourcie pointe sur le site du service, puis ce dernier vous indique la véritable URL de destination. Peut-être apprécierez-vous cette sécurité qui vous épargnera quelque déconvenue.

Et à toutes fins utiles, je vous rappelle que vous pouvez également vous rendre sur CheckShortURL pour connaître la véritable adresse d'une URL raccourcie.

3 gadgets pour allonger, salir et rendre suspectes vos URLs

Le concept, en lui-même, est déjà suspect : tandis que de nombreux sites s'évertuent à raccourcir vos URLs, d'autres se proposent de les rallonger ou de les rendre douteuses. Voici donc trois gadgets dont l'utilité m'échappe complètement, mais dont j'apprécie l'ironie.

Commençons par Freaking Huge URL. Avec cet outil, transformez l'URL de votre choix en une abominable adresse de plusieurs centaines de caractères. Trois longueurs sont proposés : Huge, Freakin' Huge ou Holy Crap ! Avec ce dernier choix, kysban.fr devient une URL de 875 caractères. Le concepteur avoue que ce site est une blague réalisée pour embêter une amie sur IRC.

On continue avec Huge URL qui propose la même chose. Plus simple encore que le gadget précédent, il ne propose qu'un seul format d'adresse Internet générant un pavé imbuvable. On appréciera au passage son slogan évocateur : "Because bigger is better, right ?". Le développeur a poussé le concept jusqu'à proposer des stickers et des tshirts à l'effigie de son site via la boutique Cafe Press.

Freaking Huge Shady URL

Et on termine avec mon préféré...

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Un blog totalement... démotivant !

Very Demotivational n'est pas exactement un "fail blog" même si le principe reste le même : réunir un maximum de photos mettant en évidence une situation inattendue, absurde, marrante, ou plus exactement dans notre cas, démotivante. Il émane de tous les posts de ce blog un sentiment pesant - voire morbide - de fatalité, prenant à contre-pied les fameuses "motivational quotes / pictures / posters" particulièrement à la mode outre-Atlantique (et notamment apprécié de Barney Stinson dans la série How I Met Your Mother). Beaucoup d'ironie et de cynisme dans ce blog donc, qui peut s'apparenter à un recueil de VdM en images.

Very Demotivational

Mais bien qu'il possède son propre nom de domaine, Very Demotivational n'est qu'une catégorie du grand Cheezburger Network qui réunit près d'une quarantaine de blogs (accessibles en bas de page) aux spécialisations diverses et variées : une compilation d'objets mignons sur Epicute, de publicités détournés sur Hacked IRL, de ressemblances improbables sur Totally Looks Like ou encore un failblog tout ce qu'il y a de plus classique.

Avec un site comme celui-ci, c'est certain : ma productivité va encore en prendre un coup... 

3 outils pour tester la surface affichée d'une page Web

Une fois n'est pas coutume : les trois sites que je vous propose cette fois ne sont pas d'une nécessité indispensable et incontestable. Mais ils peuvent se révéler bien pratique dans certains cas, notamment si vous souhaitez tester le design de votre site sous toutes ses coutures.

> TestSize.com est un site très épuré qui s'emploie à afficher, dans une fenêtre dont vous aurez préalablement indiqué les dimensions, le site de votre choix. Par défaut, le service affiche le site time.is qui ajoute encore un peu plus de sobriété (si c'était possible) à l'ensemble. Vous pouvez tester des fenêtres affichant toutes sortes de dimensions : des plus standards aux plus inhabituels, sous forme de pop-up ou directement dans la page du site. Quelques options supplémentaires vous permettent de zoomer, dézoomer, cacher l'interface du service ou tester à la chaîne les différentes dimensions par défaut.

TestSize.com

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5 services en ligne pour communiquer avec des inconnus

À l'ère du zapping systématique, du speed-dating et de la télé-réalité, il n'est pas surprenant de voir se démocratiser tout un panel de services sur Internet capable d'assouvir vos envies les plus tordues de futilité, superficialité, voyeurisme, fugacité, voire même de servir votre perversité. Pas jolie jolie ! Voici donc cinq services permettant de communiquer avec des inconnus, tout en demeurant soi-même incognito.

Masquerade

Crédit photo : deviantART

Si vous aimez le jeu des questions / réponses alors ce service devrait sûrement vous plaire. Sur formspring.me, seul le poseur de question est anonyme (s'il le décide). Si vous souhaitez être l'interviewé, il suffit donc d'ouvrir un compte. Vous pourrez ainsi éditer votre profil, le design de votre page, insérer un widget sur votre site, ou encore synchroniser vos réponses et vos contacts avec Facebook ou Twitter. Et voici la page de votre serviteur.

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Resilier.com nous offre la résiliation 100% en ligne !

Avez-vous déjà résilié un service ou été tenté de le faire ? Dans les deux cas, vous avez du vous heurter à la bureaucratie tentaculaire des services nécessitant ce type de procédure. Les démarches sont lentes, extrêmement laborieuses, et ce, notamment dans le cadre d'une résiliation auprès d'un fournisseur d'accès Internet. Si vous avez déjà tenté l'opération par téléphone, vous avez probablement été confronté au discours laconique d'un "conseiller" vous indiquant la seule méthode acceptée : l'abominable courrier recommandé.

Logo Resilier.com

Mais fort heureusement, Resilier.com est là !

Resilier.com est un service d'envoi recommandé de lettre de demande de résiliation. Dans ses garanties, on retrouve la triade : fiabilité, simplicité et rapidité. Ajoutez à cela aucune obligation de déplacement dans une Poste ou dans une boutique appartenant au service à résilier, et vous tenez la solution parfaite à votre problème de résiliation fastidieuse. Tout se passe en ligne : de la résiliation au renvoi de vos box Internet et décodeur TV, en passant par la révocation de vos prélèvements bancaires. Pour parfaire ses services, Resilier.com met à votre disposition 3200 "points résiliation" répartis dans toute la France dont au moins un se trouvera forcément à quelques encablures de votre domicile.

Par ailleurs, le service ne se limite pas à Internet : il est possible de résilier votre abonnement TV, votre forfait de téléphonie mobile, mais aussi votre contrat d'assurance.

Ayant très récemment reculé face à l'amoncellement de procédures à prendre en compte pour la résiliation de mes abonnements Internet et TV chez Orange, il est certain que Resilier.com m'offre la possibilité de réenvisager la chose de manière beaucoup plus sereine !

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Retrouvez le Top Of The Week tous les vendredis avec SFR

A l'occasion de ce billet sponsorisé, je vous propose de découvrir le site Top Of The Week qui rassemble le meilleur de l'actualité vidéo du web et vous donne en bonus une petite leçon de danse pour épater vos amis.

En effet, Top Of The Week se révèle être une émission dont le contenu peut se résumer en l'étrange rencontre entre un zapping du web et une leçon de danse à la chorégraphie pour le moins improbable. Condensée en cinq petites minutes hebdomadaires, l'émission est présentée par Michel Vedette, ce professeur de danse à l’univers didactique et légèrement décalé. Il a démocratisé l’art du step grâce à ses fameux cours de danses au Baron, véritable temple de la branchitude parisienne où il est particulièrement difficile d'entrer.

Top Of The Week

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Le site qui va faire du bien aux usagers du service public

Merci Service Public

Dans la grande famille des sites "défouloirs" et autres fail blogs, je vous présente aujourd'hui Merciservicepublic.com qui se propose d'inventorier les coups de gueule à l'égard du service public. Afin d'évaluer l'ampleur des désagréments subis par chacun, il est proposé d'indiquer la quantité de temps perdue suite à une défaillance : un retard de la SNCF, une grève de la RATP, un colis de La Poste mal acheminé, une erreur de prélèvement aux Impôts, une carte grise mal délivrée à la Préfecture, une erreur de dossier à la CAF, malheureusement les exemples ne manquent pas !

Il est possible d'avoir un compte nominatif (proposant un historique de toutes vos soumissions), de voter pour les meilleurs coups de gueule ou de laisser un commentaire. Et bien sûr, comme il s'agit d'un site contributif, le temps total perdu est recalculé perpétuellement au gré des coups de gueule postés sur le site : actuellement pas moins de 224 personnes ont déjà déclaré plus de 4 mois de temps perdu, soit une moyenne d'environ 14 heures par personne.

La grève sur Google

Plusieurs centaines de milliers de pages traitant des grèves françaises
sont référencées sur Google...

Quitwitte.fr sélectionne le meilleur de Twitter en français

Depuis Juillet 2009, Quitwitte.fr se donne pour objectif de réaliser un espace qualitatif de ressources francophones issues de Twitter, et tente autant que possible d'en tirer la substantifique moelle. À la pointe de l'information distillée sur Twitter, l'équipe de Qui twitte ? prend soin d'organiser par thématique le contenu "utile" du célèbre service de microblogging.

Qui twitte ?

Leur tâche est pour le moins ardue tant le pire y côtoie le meilleur. D'ailleurs, les annuaires, souvent mal conçus et peu informatifs, se contentent de considérer les plus gros comptes comme étant nécessairement de qualité. Ils ne se basent généralement que sur le nombre de followers ou une poignée de mots clés mal dégrossie. L'équipe de Quitwitte.fr s'emploie donc à suivre l'actualité française de Twitter en produisant un contenu où le superficiel laisse place à un rédactionnel de qualité et réalise une sélection d'outils, de vidéos ou de bookmarks en provenance de site de référence comme Read Write Web, Neteco ou Accessoweb.

Si vous êtes fraîchement débarqués sur la planète Twitter et que vous vous sentez passablement perdu, alors Quitwitte.fr est une excellente base de départ mais aussi d'approfondissement, capable grâce à son classement par thématique de vous aiguiller en fonction de vos centres d'intérêt.

Google Image Swirl entre dans la ronde des applications

Après les récents Google Wave, Dashboard, Internet Stats, la firme de Mountain View garde le rythme et propose cette fois Google Image Swirl. Bien que l'outil n'en soit encore qu'à sa version beta, il est disponible et testable en ligne depuis quelques jours sur le site expérimental de Google Labs.

swirl googlelabs

Toute la force de Google Image Swirl repose sur ses fonctionnalités de classement qui devrait vous aider dans votre recherche d'images. Contrairement à ce que de nombreux blogs relayant l'information expliquent, l'algorithme de cet outil ne repose pas uniquement sur une reconnaissance sémantique des mots-clés attribués aux images. Son mécanisme exploite en fait une technologie mêlant la reconnaissance faciale implémentée dans Picasa et le rapprochement d'images similaires (comme le font déjà des outils comme TinEye ou Gazopa). Image Swirl est ainsi capable de hiérarchiser et de grouper les images en fonction de leurs ressemblances (couleurs dominantes, visages...) et de leur sens. Mais l'outil trie non pas les images mais les groupes d'images en fonction de leur pertinence.

Si vous faites une recherche sur "Paris", Image Swirl va être capable de grouper les photos en fonction de leurs couleurs et de leur thème :

swirl paris swirl plan de paris swirl paris hilton

Mine de rien, le résultat est d'une efficacité et d'une pertinence redoutable ! Comme Image Swirl est à l'état expérimental, on ne peut pas encore lui soumettre n'importe quelle requête. Pour autant, on peut espérer qu'il viendra enrichir les options du moteur de recherche de Google, à priori dans les mois à venir.

Faites des gosses qu'ils disaient ?

Petit aparté : alors que je déambulais dans un magasin IKEA, j'étais frappé par l'ampleur de la stupidité des parents amenant leurs enfants dans un magasin d'ameublement. Sommes-nous bien d'accord que cela laisse aucun suspense sur l'intérêt que porteront les "charmants" bambins à la nouvelle table "Norden" ou au nouveau bureau "Galant" ?

Sans parler de la poussette, formidable arme d'agacement massif... S'il s'agit à première vue d'un objet tout à fait anodin, elle peut rapidement se révéler être la onzième plaie d'Égypte. On pourrait s'attendre à voir les parents y trimballer leur progéniture. Sauf que lorsque vous comptez une demi douzaine de poussettes... VIDES, agglutinées dans un bus archi bondé, vous comprenez rapidement que l'enjeu n'est pas celui escompté. La poussette se transformera subrepticement en un monstrueux tank capable de transporter des dizaines de kilogrammes de meubles et autres luminaires.

Ainsi, chez IKEA, c'est un peu comme à Disneyland : les gosses chialent de bout en bout, ne profitent pas de la familiale sortie dominicale, tandis que les parents (ainsi que TOUTE la clientèle du magasin) finissent sur les rotules, à se demander ce qu'il leur a pris de pondre leurs sales mômes.

Et on en arrive tout naturellement à ce site : Why the Fuck Do You Have A Kid ?

Si vous n'aimiez pas les enfants, il est probable que grâce à ce site, vous n'aimerez pas non plus leurs parents : vous allez découvrir un florilège de situations mettant en scène de très jeunes enfants et témoignant d'une certaine inconscience des parents. On peut y voir un bébé initié aux FPS, d'autres marmots armés jusqu'aux dents, des photos suggestives de femmes avec leur gosse à proximité, un petit garçon en compagnie d'un papa adepte des tenues en cuir inconvenantes, un môme la clope au bec, etc... Souvent drôles, les sous-titres de ces photos se veulent en tout cas sarcastiques et participent pleinement à ce grand défouloir.

Why the Fuck Do You Have A Kid devrait être prescrit dans toutes maternités qui se respectent !

Entre bricolages hasardeux et réparations de l'extrême...

À la demande de Marcello Sebastian, son auteur, et puis surtout parce que le blog en vaut le détour, je dois vous parler des Improbables Bricolages. Ce site illustre efficacement la célèbre maxime qui affirme que dans la vie, il n'y a pas de problème mais que des solutions. À sa manière, IB est une sorte de FAIL blog entièrement dédié aux réparations de l'extrême.

D'un antivol pour portière de voiture, aux murs de caisses de bouteilles de bière disposés en jacuzzi, en passant par un caddy de supermarché recyclé en barbecue, chaque billet offre son lot de questionnement en tout genre, nous faisant osciller entre une certaine forme de crédulité ("pas possible, c'est un fake...") et un sentiment de stupéfaction exacerbée.

Pour conclure sur ces Improbables Bricolages, je n'ai rien trouvé de mieux que paraphraser le Roi Arthur dans la série Kaamelott : car finalement, si ces réparations sont systématiquement débiles, elles restent toujours inattendues, ce qui est excellent pour la santé du cigare !

L'outil PageRankAlert.com fait intégralement peau neuve

Maintes et maintes fois blogué depuis plusieurs années sur le web tout entier, je n'avais jamais fait allusion à PageRankAlert.com jusqu'ici. Mais cette fois l'occasion est belle puisque depuis le 7 Juillet dernier, un des outils les plus incontournables du PageRank fait intégralement peau neuve et s'enrichit d'une interface plus claire, à base d'options et d'effets "liquides" (de type AJAX & cie).

Si vous ne connaissez pas ce service, sachez que PageRankAlert.com met à votre disposition des indicateurs permettant de connaître en temps réel les variations de PageRank relevées sur une liste d'URL transmise au service. Par exemple, si l'article phare de votre blog profite d'un PR3 et qu'il passe en PR4 suite à une visite du GoogleBot et si vous avez préalablement fourni cette URL dans l'interface de l'outil, alors PageRankAlert sera en mesure de vous prévenir par email et quasiment en temps réel de cette évolution.

Cet outil est particulièrement utile si vous souhaitez hiérarchiser vos articles en fonction de leur notoriété au sein du moteur de Google. Il peut également s'avérer pratique si vous êtes éditeur auprès de certaines régies publicitaires : ces dernières classifient souvent les blogs en fonction de leur PageRank. Avec PageRankAlert, vous êtes réactifs et n'attendez pas plusieurs semaines avant de constater la hausse de votre PR (vous évitant de voir certaines campagnes vous passer sous le nez). Inversement, si le PR d'un de vos articles dégringole, il sera toujours souhaitable d'en être alerté le plus vite possible.

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7 services de discussion en ligne complètement web 2.0

Depuis quelques semaines, il semblerait que les outils de discussion en ligne reprennent du poil de la bête, peut être sous l'impulsion de Tinychat, très apprécié des Twitter addicts. Ici et là, fleurissent quelques plate-formes de chat aux accents particulièrement Web 2.0. La sélection que je vous propose me semble intéressante car elle rassemble des plates-formes qui ne nécessitent préalablement ni l'installation d'un logiciel sur son système d'exploitation (Skype, Seesmic, Windows Live Messenger), ni l'inscription à un service d'Instant Messenging (Google Talk, ICQ, AIM). Elles offrent donc l'avantage hautement appréciable d'être immédiatement exploitables sur le Web. Bien sûr, peut-être me direz vous qu'une seule de ces plates-formes suffirait déjà amplement. Mais vous allez vous rendre compte que ces services ont tous des points forts et des points faibles différents, même si certains se démarquent du lot.

Commençons avec BabelWithMe qui est un service très récent (il est d'ailleurs proposé en version Alpha). Dans un premier temps, BabelWithMe fournit une adresse aléatoire correspondant à une fenêtre de chat qu'il vous suffira de distribuer aux gens avec lesquels vous souhaitez converser. En fait, l'intérêt de ce service est assez inattendu puisqu'il peut traduire en temps réel une discussion, en fonction de la langue que vous lui aurez soumis (plus de quarante langues à son actif). J'ai trouvé BabelWithMe d'une efficacité et d'une fiabilité redoutables.

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Avec Pic Breaking & Visible Tweets, facilitez vous Twitter

Aujourd'hui, au programme de Kysban's World, deux outils exploitant, chacun à leur manière, la base de données de Twitter en temps réel. Une fois n'est pas coutume, ces deux moteurs de recherche sont en anglais. Néanmoins, vous ne croulerez pas sous d'interminables menus d'options : la sobriété ainsi que le design épuré de chacun d'eux devraient vous permettre une prise en main immédiate.

PicBreaking a pour but d'afficher les photos de la base de données de Twitter. Les dernières images postées via le service TwitPic sont ainsi affichées, quasiment en temps réel sur la page d'accueil. Le moteur de recherche permet de lancer des requêtes à partir de n'importe quel mot-clé. Comme vous vous poserez sûrement la question, sachez que "Nifty" correspond aux mots-clés les plus consultés et "Breaking" aux mots-clés en rapport direct avec l'actualité du moment. Un petit bémol : le service n'est pas à mettre entre toutes les mains, on a assez vite fait de tomber sur des photos pas trop recommandables...

Le second est Visible Tweets. Il permet tout simplement d'afficher les tweets d'un compte ou contenant un mot-clé (tous les opérateurs habituels de Twitter Search sont reconnus) d'une manière bien plus graphique, à l'instar d'un économiseur d'écran. Vous pouvez afficher et enchaîner les tweets de trois manières différentes : lettre par lettre, en rotation, ou à la manière d'un nuage de mots-clés. Selon l'auteur lui même, Visible Tweets a été conçu et designé pour être affiché dans des espaces publics. Pour suivre l'évolution de cet outil et en particulier ses mises à jour, l'auteur met à votre disposition son compte Twitter.

2 mashups à adopter pour votre culture et votre inspiration

« Un mashup en informatique est un site internet ou une application dont le contenu provient de la combinaison de plusieurs sources d'information. »

Même si cette piqure de rappel n'est pas des plus indispensables, elle a au moins le mérite d'être concise et de remettre les choses immédiatement dans leur contexte. Les deux sites que je vous propose de découvrir sont effectivement des mashups basés notamment sur FlickR, Wikipedia ou Twitter. Voici donc plus précisément de quoi il retourne.

BigHugeLabs.com propose un outil intitulé Ideas dont l'objectif est de vous être profitable comme d'une source d'inspiration. A partir de n'importe quel mot (une notion, un adjectif, un nom, une personnalité...), l'outil puise dans les ressources du net pour vous proposer une myriade d'information en relation directe avec le mot : une citation, une définition (Wikipedia), des photos (FlickR), des palettes de couleurs, voire même une sélection musicale (via Last.FM) ou video (YouTube), l'ensemble constitue finalement une belle page, entièrement consacrée au mot proposé. Pour parfaire l'inventaire, l'outil va également fouiller parmi les bookmarks Delicious, les produits Etsy ou les messages postés sur Twitter.

Le site Wordnik est construit sur le même modèle mais se veut beaucoup plus ambitieux. Le menu contient un sommaire proposant une version résumée de chaque information en relation avec le mot proposé : des définitions, la prononciation du mot (fichier son à l'appui), son étymologie, ses statistiques, des images issues de FlickR, des citations de Twitter, des extraits de livre tirés du Projet Gutenberg ou même des informations totalement inattendues comme des anagrammes de ce mot ou son score au Scrabble. Le reste du menu est une sélection plus complète de chaque source donnant accès à plus de photos, de définitions, d'extraits de livre, de tweets etc...Le grand plus de Wordnik est son aspect communautaire. Il sera ainsi nécessaire de s'y inscrire pour pouvoir appréhender toute sa richesse et y collaborer : dès lors, vous serez invité à fournir vos propres synonymes, étymologies, prononciations etc...

Quelques mots à tester : Revolution, Sexy ou Twilight sur Wordnik | Nightwish, Steve Jobs ou Winter sur Ideas

Sauvons les mots de l'extinction massive avec Oxford !

Nos parents, nos grands-parents n'en finissent plus de se lamenter de notre pitoyable vocabulaire. D'après nos aïeuls, les nouvelles générations ne savent pour ainsi dire ni parler, ni écrire (ce n'est pas le langage SMS se démocratisant qui devrait les faire changer d'avis) et sont de plus en plus réfractaire à l'idée de lire un bon roman. Selon eux, nous ne tarderons plus à vivre reclus devant nos machines avilissantes, débilitantes et à nous exprimer à l'aide de quelques onomatopées. Rien que ça.

Save The Words

A partir de ce constat, et bien sûr pour donner tort à ces mauvaises langues, Oxford (éditeur des fameux dictionnaires anglophones) propose Save The Words, un gadget Internet se voulant autant ludique que didactique et mettant en exergue les mots les moins courants de la langue anglaise. Sur ce site, un véritable mur de mots tous aussi abscons les uns que les autres ("icasm", "bimarian", "riviation", "mulomedic" ou encore "isangelous") s'offrent à vous.

Chaque mot survolé lache une complainte lancinante vous demandant de l'adopter. Save The Words suggère de réutiliser ces mots dans une partie de Scrabble, un SMS, un tag, un tatouage. Le site se propose aussi de vous envoyer un mot par jour qu'il faudra réutiliser dans une conversation ou encore de vous vendre un Tshirt orné de votre mot préféré.

4 outils pour se faciliter le copier/coller sur Internet

J'avoue que cette liste d'outils mérite quelques explications quant à son utilité, tellement elle s'attelle à rendre plus pratique un principe pour le moins trivial (ou pas, si on considère les deux années qu'il a fallu à Apple pour nous le pondre sur iPhone) qu'est celui du copier/coller sur Internet (copy/paste en anglais). Ne vous êtes-vous jamais agacé de devoir copier/coller un texte long, dans Windows Live Messenger par exemple ? Il faut le découper afin de ne pas dépasser la limite des 400 caractères, tandis que généralement on perd le formatage (lien hypertexte, gras, italique, taille etc...).

Avec cette liste d'outils, tous ces problèmes disparaissent tout en vous offrant en plus le luxe de pouvoir retrouver tous vos textes à partager, simplement à l'aide d'une URL et d'un code. Ils peuvent même devenir un atout pour les développeurs.

Hey ! Paste It

Hey ! Paste It >> Cet outil est le plus sobre des quatre et le plus récent aussi, lui valant un look plus web 2.0 que les autres. Copiez votre texte, puis cliquez sur "Paste Online". Instantanément, l'outil vous fournit l'URL ainsi que le numéro de "clip" vous permettant de retrouver votre texte.

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Copier/coller tous les caractères spéciaux en un simple click

Bien entendu, on va me dire que ça ne sert à rien, que je m'apprête - encore - à faire la présentation d'un site gadget pour geek paresseux... Et vous aurez raison. Mais tant pis, j'assume ! Car j'avoue ne jamais avoir eu sous la souris, facile d'accès, ces fameux caractères spéciaux, devant péniblement utiliser une méthode alternative, anti-productive et fastidieuse.

Jusqu'alors, on disposait d'une poignée de solutions sous Linux ou Windows pour récupérer ne serait-ce qu'une majuscule avec accent, par exemple :

  • AltGr + Shift + touche sous Linux
  • Alt + code ASCII en décimal sous Windows
  • Démarrer > Exécuter > charmap.exe toujours sous Windows
  • Le menu Symbole dans la suite Office de Microsoft

Rien de bien folichon, si ce n'est bien sûr du côté de Linux où l'opération est assez immédiate. Ce n'était sans compter sur CopyPasteCharacter.com !

CopyPasteCharacter

CopyPasteCharacter est un site à bookmarker absolument, qui se présente sous la forme d'une grille comparable à la table des caractères que propose Windows. Son intérêt réside dans le fait qu'il vous suffit de cliquer sur le caractère spécial pour qu'il soit automatiquement copié dans le cache et collable où bon vous semble. C'est propre, intuitif, rapide et concis. Que demander de plus ? Peut-être que les caractères spéciaux puissent, en plus d'être récupérés au format ASCII, l'être également au format HTML ? CopyPasteCharacter le fait : cliquez sur "As HTML" dans le menu en haut à droite et le caractère "É" sera copié dans le cache en tant que "É".

En complément, je vous conseille XHTML Character Entity Reference qui consigne une quantité astronomique de caractères spéciaux en fonction de diverses thématiques : symboles, opérateurs mathématique, lettres grecques etc... Pour chaque caractère, vous pourrez récupérer le code HTML et le code XHTML.

6 outils de reconnaissance de caractère en ligne et gratuits

Tandis qu'une ribambelle de blogs y va de son article dédié à Free OCR, la dernière sensation en matière d'outil gratuit et en ligne de "reconnaissance optique de caractère", Kysban's World va plus loin et vous propose 6 services à tester. Bien évidemment, il y a de bonnes et de mauvaises choses au sein de chacun de ces outils. Pour autant, cette liste devrait vous aider à trouver l'outil correspondant le mieux à l'utilisation spécifique que vous souhaitez en faire.

Même si son principal inconvénient est d'être limité à 30 pages par mois et par compte, OCR Terminal est un outil relativement complet. Le fichier de sortie est proposé en TXT, DOC, RTF & PDF. S'il est possible de conserver un historique complet des traitements réalisés, il n'est possible en revanche de conserver que le résultat du dernier document traité.

Online OCR propose en tout et pour tout 5 pages gratuites par compte. Cela vous coutera ensuite entre 2€ pour 30 pages et 7€ pour 200 pages. Plusieurs options sont disponibles comme la conversion en noir & blanc ou la reconnaissance de la langue. En plus des formats habituels, l'outil propose le HTML et le XLS. Vous pouvez garder un historique complet et le résultat de tous les documents traités.

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Vérifiez la disponibilité d’un URL shortener customisé !

J'ai l'honneur de vous présenter CheckShortURL, un petit utilitaire en ligne réalisé en PHP et entièrement de mon cru, qui s'emploie à vous indiquer la disponibilité d'un mot sur les différents services de raccourcisseurs d'URL.

Le fonctionnement est très simple : vous indiquez n'importe quelle chaîne de caractères (il peut s'agir d'un mot, d'un pseudo, d'une marque, d'une année etc...) en face de l'invite "Your custom alias" et il ne vous reste plus qu'à cliquer sur "Check short URL". Si le mot est déjà pris alors une croix rouge s'affiche ainsi que le lien vers lequel l'URL pointe déjà. Si le mot est disponible, alors un check vert est indiquée, accompagné d'un lien vers le service où vous pourrez créer votre raccourci personnalisé.

Certains seront sceptique vis à vis de l'utilité de ce service. Mais c'est justement en étant moi même surpris de constater que les raccourcisseurs d'URL offrant une option de customisation rencontraient un franc succès, que je me suis lancé dans la création de ce site : de nombreuses grandes marques comme "Microsoft" ou "Apple" sont déjà massivement réservées tout comme "Facebook", "2009", "Obama" ou encore "Korben"...

D'autre part, CheckShortURL peut aussi faire office d'une sorte d'annuaire inversée : vous souhaitez connaître la destination de ce lien http://cli.gs/z1b863 sans avoir à cliquer dessus ? Faites une recherche avec "z1b863" et vous saurez qu'il pointe sur CheckShortURL.com.

Détail amusant, une recherche avec la marque "microsoft" montre que
http://bit.ly/microsoft pointe vers le site d'Apple.

Pour l'instant, 12 URL shorteners sont référencés et l'ensemble est en anglais. Cependant, si le site rencontre un certain succès, alors j'en ferais probablement une version française, et d'autres services ainsi que d'autres options viendront s'ajouter. Autre évolution envisagée : vous constaterez qu'actuellement une requête peut potentiellement mouliner pendant près d'une soixantaine de secondes. Quelques améliorations pourront sûrement être apportées dans ce sens.

Avec Dontclick.it, résisterez-vous à la tentation... du click ?

Véritable expérience à lui tout seul, le site Dontclick.it devrait perturber de nombreux surfeurs, même parmi les plus expérimentés : conçu exclusivement en Flash, doté d'une interface dénuée de bouton, Dontclick.it se veut déstabilisant. Il instaure une conception radicalement différente de la navigation sur Internet puisque le click de souris y est purement et simplement banni. En fait, il suffit de "pointer"... et ça affiche. En revanche, si vous avez le malheur de cliquer, alors le site réagit viscéralement et vous somme de lui dire si ce click était accidentel ou intentionnel de votre part.

Au delà du défi ergonomique, Dontclick.it délivre un message intéressant : habituellement, les sites regorgent de liens et de boutons. Or, équipée d'une souris, nous sommes inlassablement tentée de cliquer sur tout ce qui peut l'être. Cette frénésie du click peut entraîner quelques désagréments : phishing, cookie malveillant, téléchargement douteux, pop-up installé à votre insu, spyware... Autant de fléaux auxquels l'internaute peut se retrouver confronter.

Finalement, devant tant de fluidité et de simplicité, sans oublier l'aspect ludique de l'expérience, on en viendrait presque à rêver que Dontclick.it devienne la référence de tout bon webdesigner. Bien sûr, ce type de site nécessite quelques pré-requis, mais rien de révolutionnaire : votre navigateur doit être équipé du plugin Flash, votre ordinateur d'une carte graphique et d'un processeur de cette décennie, ainsi que d'un dispositif de pointage (souris, trackball, trackpoint, touchpad...) puisqu'il n'est pas non plus question de naviguer au clavier.

Des clones de "Vie de merde" d'un genre différent #1

Désormais, entre son site et son recueil, tout le monde connaît Vie de Merde (dont BashFR est l'ancêtre qu'on oublie un peu vite !). De nombreux clones ont envahi la toile depuis quelques mois : Voisins de merde, Job de merde, Grosrateau.com, Fuck My Life ou encore Chuck Norris Facts (et son pendant francophone) dans un tout autre style.

Aujourd'hui, chacun veut à sa manière surfer sur le succès fulgurant de Vie de Merde et cherche à décliner le concept par tous les moyens : traiter du malheur des gens sous un énième angle, dans un autre contexte, à travers un fait d'actualité, ou même prendre littéralement le contrepied du modèle pour en faire un générateur d'optimisme. Ces nouveaux clones sont pétris d'opportunisme et fonctionnent plus ou moins biens tant ils renouvellent le genre de façon de plus en plus laborieuse.

Citons tout de même trois d'entre eux, fraîchement démoulés sur le Web :

Tout va bien ! est un site qui s'emploie à ne donner que des bonnes nouvelles glanées sur des sites d'actualité. Il est possible de voter pour chacune des news et ainsi d'influer sur le classement global des meilleures bonnes nouvelles. Malheureusement, les posteurs sont peu nombreux. La meilleure bonne nouvelle du moment est celle qui informe que Chirac a été mordu par son chien. A noter qu'il existe l'équivalent pessimiste de Tout va bien ! avec... Tout va mal !.

Merci la Crise débarque début décembre 2008. Comme vous l'aurez deviné, Merci la Crise invite ses visiteurs à se plaindre des conséquences de la crise économique. L'idée initiale est plutôt amusante, mais Merci la Crise semble laissé à l'abandon : entre les trolls, les insultes et les pubs Adsense, on trouve quelques interventions amusantes. Je parlais d'opportunisme... et je pense qu'on est justement plein dedans : en bas de page le capital de la SARL est annoncé, ainsi que le nom de la société assumant le développement et l'hébergement (sauf que le lien mène sur une page d'erreur 403).

One Sentence est anglophone et reprend le principe de Vie de Merde en en proposant une version plus édulcorée : il s'agit de raconter une histoire vraie en une seule phrase, qu'il s'agisse d'une histoire amusante, improbable, navrante etc... Vous avez la possibilité de consulter les "One Sentence" les plus populaires ou celles qui ont été refusées

Connaissez-vous d'autres clones de Vie de Merde dont je n'aurais pas parlé ?

Frengly & Nicetranslator : deux traducteurs sympas, à tester

Si, comme la plupart des internautes, vous utilisez exclusivement les outils de Free ou Google pour vos traductions en tout genre, les deux traducteurs suivants devraient vous apporter plus de confort. Entre interface web 2.0, efficacité et sobriété, frengly.com et nicetranslator se révèlent rapidement indispensables.

Frengly.com met à votre disposition la traduction de 27 langues et reconnait automatiquement la langue du texte que vous lui soumettez. Si les traductions renvoyées sont, le plus souvent, "seulement" satisfaisantes, elles sont en tout cas toujours suffisantes pour permettre la compréhension du sens global d'un texte. L'option "Your translations" située en haut à droite contient un historique de toutes les traductions auxquelles vous avez soumis Frengly durant la session en cours.

Nicetranslator.com est développé par Tumble Design. Son moteur repose sur la Google Translation API qui propose 34 langues. Comme sur Frengly.com, la langue du texte à traduire est reconnue automatiquement (mais on peut aussi la "forcer" en cas d'ambiguïté). Détail plutôt fun : Nicetranslator traduit en temps réel le texte que vous lui soumettez, dans chaque langue préalablement sélectionnée, via le bouton "Add/Remove". Par ailleurs, sa version pour téléphone mobile représente une fonctionnalité appréciable et assez bien adaptée à l'iPhone.

Anecdote amusante : les deux traducteurs ont su reconnaître du basque et de l'espéranto, toutefois sans être capable de le traduire.

Face à ces traducteurs aux fonctionnalités attachantes, Free et Google ne servent guère que pour la traduction de pages à partir d'URL. A noter tout de même, que le traducteur de Google semble plus performant que celui fourni par Systran (celui là même qui est implémenté sur le portail de Free). En définitive, Frengly.com et Nicetranslator constituent des alternatives intéressantes dès lors qu'on ne leur demande que de traduire un texte vers sa langue maternelle pour en tirer le sens global, l'inverse se révélant plus aléatoire.

Avec Wagwire, équipez votre site d'une messagerie vocale !

Développé par Wagwire, Wagcast se présente sous la forme d'un module à installer sur son site web et qui permet de laisser facilement des messages vocaux. Ce plugin brille par son efficacité, car au delà des fonctions basiques d'enregistrement vocal, il donne également au webmaster la possibilité de gérer ces messages via une interface privée ou même de les envoyer par email (ou vers un autre compte Wagwire). Bien évidemment, comme à peu près tout ce qui se fait de nouveau actuellement, l'application peut être intégrée à Facebook.

En fait, le concept est intéressant car il peut s'appliquer non seulement à n'importe quel type de support internet (blog, forum, site), mais aussi à n'importe quelle forme de participation : un commentaire de billet, un message de livre d'or, un post sur un forum, un podcast interactif... Un tel service pourrait même s'avérer avoir des vertus diplomatiques tant on sait à quel point le ton utilisé dans une discussion est primordial et difficile à appréhender par écrit. La modération se fait sans complication, via l'interface d'administration comparable à celle d'un webmail.

En définitive, de quoi dynamiser et impliquer positivement son lectorat !

Contrairement à de nombreux blogs qui y consacrent un billet sans l'installer, vous trouverez le plugin sur Kysban's World dans la colonne la plus à droite. J'avais déjà laissé un message il y a quelques jours, ne manquant pas (évidemment) de susciter un gros fou rire auprès de mes amis ^^. Je l'ai donc réenregistré, en espérant qu'il fasse un peu moins penser à Monsieur Patel (au passage, merci Arnaud pour la comparaison, ça fait toujours plaisir ! :P). Par la suite, l'utilisation de ce plugin fera peut être l'objet d'un concours. A moins que je m'en serve comme unique moyen pour commenter certains billets.

N'hésitez donc pas à vous servir du plugin, et pensez à baisser le volume avant l'enregistrement ! :-)

Lorsque Wikipedia rencontre Youtube...

Cela donne Wordia, le projet de la société Awesome Television basée à Londres dont l'activité se résume à produire pour la télévision et développer des logiciels. Illustré d'un gimmick à prendre au premier degré, "search, define, share" (signigiant "cherchez, définissez et partagez"), les concepteurs de Wordia s'emploient à réaliser un dictionnaire proposant, pour chaque mot, une définition écrite issue du Collins (l'équivalent de notre Petit Robert), une définition sous forme de vidéo, ainsi que des fonctionnalités propres aux sites communautaires (commentaire, compte perso, partage, upload de vos propres vidéos etc...).

L'idée est intéressante en cela que le concept repose sur une idée ambitieuse et rafraîchissante. Bien sûr, Wordia est loin d'être complet, même s'il contient un dictionnaire de 76000 mots dans leur forme classique : le dictionnaire ne proposait encore qu'une douzaine de vidéos en septembre dernier. Il reste donc tout à faire, et on peut imaginer qu'avec un peu de promotion Wordia deviendra LE dictionnaire virtuel célébrant la rencontre de Wikipedia avec Youtube.

Je vous donne le lien pour le mot "round" car cette vidéo m'a donné le sourire pour la soirée (et aussi ce lien dans la foulée). Est-ce que vous saviez que "round" pouvait définir une chanson chantée "en canon" ? Les vidéos sont parfois réalisées par l'équipe de Wordia elle-même en interrogeant des passants, d'autres fois avec des personnalités (plutôt connues du grand public anglophone ?) et le plus souvent par des internautes du monde entier.

Du coup, Wordia pourrait devenir un support amusant pour perfectionner son anglais. D'ailleurs, ses développeurs en parlent comme d'un outil mnémotechnique d'un nouveau genre, plus instantané et utile qu'une définition de dictionnaire seule. Et on ne demande qu'à les croire. :-)

Savoir en un seul click s'il va pleuvoir aujourd'hui ?

Is It Going To Rain est une application simplissime capable de vous localiser grâce à votre adresse IP et dont la finalité est de vous dire s'il va pleuvoir aujourd'hui. Les réponses possibles sont succintes : "yes", "no", "maybe", ou encore ":(" si le site est dans l'incapacité de vous repérer géographiquement. Les réponses s'appuient probablement sur des données météorologiques fiables, mais le site de la boîte de développement n'en dit pas plus.

Vous pouvez également indiquer des villes de n'importe quel pays, le site saura presque toujours vous répondre en accompagnant sa prévision de quelques précisions. Quelques exemples pour le 1er décembre 2008 :

  • there will be a chance of snow with a high of -1°c today in inari, lapland
  • it will be clear with a high of 23°c today in anaheim, ca
  • there will be rain with a high of 6°c today in new york, ny

Son aspect rudimentaire et sa simplicité en font un favori idéal pour votre téléphone portable.


Puis si décidément, vous n'aimez vraiment pas la pluie, voici le "Fuck The Rain" umbrella, proposé par Art. Lebedev Studio. Comptez un peu moins de 60 € (frais de port inclus) et trois semaines pour le délai d'expédition. Peut-être une idée cadeau, quoiqu'un peu spécial... :P

Vie de Merde sort un livre et fait des émules avec FML

logo vie de merde

Je ne sais pas si Maxime Valette et Guillaume Passaglia, concepteurs du site Vie de Merde (VDM), envisageaient un succès aussi colossal lorsqu'ils mettaient en ligne la première mouture de leur site en janvier 2008. Depuis, la machine s'est emballée sans dérailler et l'ascension est fulgurante : 260'000 visites quotidiennes, des illustrateurs vraiment talentueux, un partenariat probablement juteux avec le site du magazine Première pour la section des VDM people, un concours avec plus de 2000€ de lot, une boutique en ligne proposant des T-shirts personnalisés et depuis peu... un bouquin !

livre vie de merde

Ainsi, Vie de Merde devient aussi un livre de 275 pages , paru aux éditions Privé et en vente depuis Octobre dernier. Il rassemble plus de 850 citations triées sur le volet et illustré par Pénélope Bagieu. Les sempiternels râleurs ne verront dans cette entreprise qu'une "volonté de faire de l'argent facile à partir d'un contenu plagié". On peut se poser la question de l'intérêt d'un tel bouquin dont le contenu et le fond sont parfaitement adaptés à une lecture passagère, immédiate et peu approfondie. En cela, Internet (via le site et le flux RSS) constitue un support idéal, car ce style d'anecdotes souffrent particulièrement peu de la dématérialisation. Pour autant, ce livre (par ailleurs avantageusement illustré) est une alternative intéressante pour les non-internautes pour qui il représente la seule opportunité de toucher du doigt le phénomène. Enfin, les accusateurs de plagiat, au delà du ridicule auquel ils confinent, nous prouvent deux choses : ils n'ont aucune connaissance du business plan d'un site Internet (sinon ils s'offusqueraient autant des recettes engendrées sur le site) et ne reconnaissent pas en VDM le statut de recueil (concept pourtant simpliste, on ne va pas accuser de plagiat l'auteur d'un recueil d'histoires drôles).

Fuck My Life

Certes, VDM n'a pas encore le succès de Facebook, ni Maxime Valette, la renommée de Mark Zuckerberg. Mais pour un entrepreneur français de 20 ans, ça commence sérieusement à y ressembler. D'ailleurs, la recette semble tellement appétissante qu'elle fait des émules chez nos amis anglophones, avec le très récent Fuck My Life, encore en version bêta. Malgré un groupe Facebook rassemblant plus de 5000 internautes, le démarrage de FML se révèle plutôt timide avec 50 anecdotes soumises et 38 publiées en 15 jours.

Vie de Merde devrait dépasser les 300'000 anecdotes soumises d'ici à la semaine prochaine, pour 5800 publiées en 11 mois.

5 supports pour (se) convaincre d'utiliser les flux RSS

Si de nombreux billets débattent de l'utilité des flux RSS ou donnent des conseils pour convertir ses visiteurs (comme cet excellent billet), ils sont cependant plus rare à s'adresser directement aux plus récalcitrants pour les aider à passer le cap de leur utilisation. De fait, à force de parler méthode de diffusion, à montrer que les RSS sont utiles sans rappeler comment ils sont utilisables, on en vient à oublier la problématique du confort d'utilisation. Aussi, si les visiteurs résistent encore à s'abonner aux flux, ce n'est pas nécessairement le contenu qui doit être remis en cause mais peut-être le contenant.

Car, aussi intéressant qu'il soit, quoi de moins aguichant qu'un flux RSS ? Il restera désespérément fastidieux à consulter si les supports de diffusion ne sont pas adaptés aux goûts de chacun. Bien sûr, on est d'accord qu'il est difficilement du ressort du blogueur d'imposer un outil. Il faut bien évidemment laisser le choix, tout en proposant un éventail de solutions assez large.

1/ Si vous préférez lire vos flux sur votre iPhone : mon choix s'est porté sur NetNewsWire, une application gratuite disponible sur l'Appstore. Elle nécessite que vous ayez un compte sur Newsgator.com et présente l'immense intérêt d'être synchronisée avec le site (Newsgator existe également sur Windows Mobile, ainsi que SplashNews toujours sur Windows Mobile, ou encore TopStory sur Symbian).

2/ Si vous êtes blogueur et préférez récupérer l'information directement dans votre blog : le plugin "Bandeau défilant" nécessite la version 2.1.1 de Dotclear. Convivial et très visuel, il permet d'afficher n'importe quels flux dans un bandeau calé tout en bas de l'écran (démonstration sur Apperisphere.com). Il existe également le widget Splush entièrement personnalisable (un exemple dans la sidebar de Presse-Citron).

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Chérie, j'ai vieilli les gosses !

Après MakeMeBabies pour connaître la tête de vos futurs chérubins et MyHeritage.com pour savoir à quelle célébrité vous ressemblez le plus, je vous propose de découvrir Face Transformer.

Ce site se propose de vous vieillir en quelques secondes. Il vous suffira d'uploader votre portrait dans la rubrique Face Transformer (préférez une image de face pour garantir l'efficacité du résultat) et de délimiter les bords de vos yeux, visage et bouche. Sitôt dit, sitôt fait : une poignée de secondes suffisent et on vous propose un portrait avec plusieurs dizaines d'années en plus, un portrait dessiné à la manière de grands peintres, de vous transformer en primate ou encore de changer de sexe. Rapide et relativement efficace, il faudra quand même compter sur quelques petites retouches pour obtenir un résultat plus réaliste.

Avec un portrait d'Angelina Jolie, de gauche à droite (sans retouche manuelle) :
photos de base / vieillie / masculinisée / en singe / style Boticelli

Par ailleurs, le site de l'université écossaise de St. Andrews propose d'autres expériences : Face Averager permet de faire une "moyenne" entre deux portraits, Face Morpher utilise la technique du morphing pour réaliser une transformation de votre portrait vers un autre (relativement instable, cette section ne semble pas fonctionner...), Face Detection a pour enjeu de vous expliquer, de manière interactive, le fonctionnement d'un algorithme de reconnaissance de visage (la peinture de La Joconde est prise en exemple).

Au fait, si jamais vous vous égareriez sur cet autre site, ne vous attendez pas à quelque chose de sérieux... ;-)

L'analyse sémantique on the web

Je vous propose de découvrir un plugin Firefox et un site, oscillant entre le gadget inutile et l'outil indispensable et facilitant l'analyse de la sémantique.

KGen

Le plugin KGen est une extension pour Firefox qui permet d'analyser statistiquement la fréquence d'apparition des mots d'une page Web. Pour le blogueur soucieux de ses mots clés (essentiels pour le référencement), KGen est idéal. L'analyse dépasse le simple comptage du nombre d'occurrences de chaque mot puisqu'ils sont triés par ordre d'importance, en fonction de leur taille ou selon qu'ils se trouvent dans un titre ou encore dans une balise "strong". Fonctionnant aussi bien sur Internet que sur des pages hors-ligne, le plugin est entièrement configurable : nombre minimal de lettres par mot, personnalisation du poids en fonction du type de balise, type d'affichage en nuage, en liste ou en classement... Mieux encore : en cliquant droit sur un mot de la liste, KGen propose une liste de synonymes. Idéal donc pour quiconque donne de l'importance au choix des mots. Pour utiliser le plugin : Affichage > Panneau latéral > KGen > Scanner ce document.

Le site Wordle permet de générer des nuages de tags. Ces nuages mettent en évidence les mots apparaissant le plus fréquemment dans un texte ou une page web que vous aurez soumis à Wordle préalablement. Bien sûr, chacun jugera de l'utilité de ce site... Mais le plus souvent, c'est très joli d'autant que l'aspect graphique est entièrement personnalisable.

A gauche, un exemple réalisé à partir du contenu de ce billet. :-)